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Andrés Calamaro (rock)
Bersuit Vergarabat (rock)
Callejeros (rock)
Fito Paez (rock)
Gotan Project (électro)
Los Piojos (rock)
Mercedes Sosa (folk)
Arranco de Varsovia (samba)
Chico Buarque
Chico Science & Nação Zumbi (mangue beat)
Gilberto Gil
Marcelo D2 (fusion)
Mart’Nália (pop-folk)
Olodum (batucada)
Roberta Sá (pop-folk)
Chile
Violeta Parra (folk)
Colombia
Carlos Vives (vallenato)
Cuba
Bebo Valdés & Chucho Valdés (latin jazz)
Buena Vista Social Club (son cubain: Compay Segundo, Omara Portuondo, Ibrahim Ferrer, Rubén Gonzalez, Eliades Ochoa, etc.)
Gloria Estefan (salsa)
Orishas (rap)
Raúl Paz (salsa)
México/EE UU
Café Tacuba (rock alternatif latino)
Chavela Vargas (folk)
Control Machete (rap)
Julieta Venegas (pop)
Lhasa (folk)
Lila Downs (folk)
Maná (rock)
Molotov (fusion)
Plastilina Mosh (électro)
Rodrigo y Gabriela (folk rock)
Perú
Susana Baca (musique afro-péruvienne)
Daddy Yankee (reggaetón)
Don Omar (reggaetón)
República Dominicana
Juan Luis Guerra (bachata, merengue)
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Amparanoia
Bebe
Jarabe de Palo
La Oreja de Van Gogh
Manu Chao
Mecano
Sergent García
Bunbury
Celtas Cortos
El Canto del Loco
Estopa
Fermín Muguruza (en basque)
Fito y Fitipaldis
Macaco
Mägo de Oz (métal celte)
Mano Negra
No Relax (punk rock)
Seguridad Social
Ska-P (punk rock)
Rap
La Excepción
Flamenco
Concha Buika (flamenco jazz)
Estrella Morente
Ketama
Ojos de Brujo
Carlos Núñez
Luar na lubre
Otros
Radio Tarifa (musique arabo-andalouse)
Yasmin Levy (musique judéo-espagnole)
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- Mar adentro, de Alejandro Amenábar (Esp, 2004), Javier Bardem interprète Ramón Sampedro, galicien tétraplégique qui en 1998 s’est suicidé avec l’aide de son entourage, provoquant en Espagne une prise de conscience sur l’euthanasie.
- Camino, de Javier Fesser (Esp, 2008), s’inspire de l’histoire vraie d’Alexia González Barros, morte d’un cancer à 14 ans après plusieurs mois d’un calvaire où elle aurait montré un courage hors du commun. Appartenant à une famille de l’Opus Dei, sa béatification est aujourd’hui en cours. Le film a créé la polémique en Espagne car il dénonce le fanatisme des membres de "la Obra".
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Yo también, de Álvaro Pastor et Antonio Naharro (Esp, 2009), Daniel a 34 ans et travaille dans un centre social de Séville où il fait la connaissance de Laura. Ils deviennent très vite amis, mais Daniel est trisomique, et leur amitié devient le centre de toutes les attentions au travail et dans leurs familles. La situation se complique quand Daniel tombe amoureux de Laura...
- El mal ajeno, de Óskar Santos (Esp, 2009), Diego, médecin urgentiste habitué à traiter des situations extrêmes, est devenu totalement immunisé à la douleur des autres. Quand l’une de ses patientes tente de se suicider, son conjoint accuse Diego et tire sur lui. Après cela, Diego ne se souvient de rien, si ce n'est de l'étrange sensation qu'il a ressentie, bien plus qu'un coup de feu...
- Gordos, de Daniel Sánchez Arévalo (Esp, 2009), comédie qui réunit plusieurs personnes souffrant d'obésité dans le cadre d'une thérapie de groupe. Complexes, phobies, obsessions, traumatismes, peurs, culpabilité, ils vont découvrir les raisons de leur prise de poids et pourquoi ils ne sont pas heureux dans leur corps.
- La piel que habito, de Pedro Almodóvar (Esp, 2011), depuis que sa femme est morte brûlée dans un accident de voiture, Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau. Douze ans après le drame, il y réussit dans son laboratoire privé. Mais il lui faut une femme cobaye…
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ESPAGNE
- 20 centímetros, de Ramón Salazar (Esp, 2005), dans ses rêves, Marietta est une star dont la vie ressemble à une comédie musicale. Dans la réalité, Marietta est un travesti qui adorerait se débarrasser des 20 cm qui la sépare de la femme qu'elle désire devenir.
- Reinas, de Manuel Gómez Pereira (Esp, 2005), cette comédie suit plusieurs couples d’homosexuels les jours précédant leur mariage, et les galères qu’ils traversent. Le film se sert de l’actualité de la nouvelle loi sur le mariage homosexuel, toile de fond de l’histoire.
- Fuera de carta, de Nacho García Velilla (Esp, 2008), Maxi est le propriétaire d'un restaurant renommé de Madrid. Il vit son homosexualité sans complexe, jusqu'au jour où sa vie va être bouleversée par l'arrivée de ses enfants, fruits d'un mariage mal vécu, et par celle d'un voisin, ex-footballeur argentin.
- Ander, de Roberto Castón (Esp, 2009), Ander, agriculteur basque de 40 ans vivant avec sa mère, va découvrir son homosexualité avec l’arrivée de José, un travailleur péruvien embauché pour l’aider à la ferme.
- 80 Egunean, de Jon Garaño et José Mari Goenaga (Esp, 2010), Axun, une femme de 70 ans, se rend à l'hôpital pour s'occuper de l'ex-mari de sa fille. Elle découvre que la femme qui s'occupe du malade du lit voisin est Maïté, sa meilleure amie d'adolescence. Elles profitent de leurs retrouvailles jusqu'à ce que Axun s'aperçoive que Maïté est attirée par les femmes...
Voir aussi les autres films de Pedro Almodóvar pour la thématique des homosexuels, des transsexuels, des travestis : La ley del deseo, Laberinto de pasiones, La mala educación, Los amantes pasajeros, etc.
AMÉRIQUE LATINE
- No se lo digas a nadie, de Francisco José Lombardi (Pérou, 1998), traite du tabou homosexuel dans la société liménienne de la fin du XXe. Joaquín, jeune homme issu d'une famille de la haute bourgeoisie traditionnelle, va découvrir la façon de vivre son homosexualité socialement. Le premier film péruvien à thématique LGBT.
- Contracorriente, de Javier Fuentes León (Pérou, 2009), Miguel est un jeune pêcheur de Cabo Blanco, petit village aux fortes traditions catholiques sur la côte nord du Pérou. Marié à Mariela, enceinte, il vit secrètement une histoire d’amour passionnée avec Santiago, un peintre issu d'une famille riche. Mais celui-ci se noie accidentellement…
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- Justino, un asesino de la tercera edad, de Luis Guridi (Esp, 1994), à 72 ans, Justino, "puntillero" depuis des années dans une arène madrilène, est obligé de prendre sa retraite. Période difficile qu'il passe souvent à boire avec son ami Sansoncito, rêvant de finir tous les deux leurs jours sur la côte. Expert dans le maniement de la dague, avec laquelle il achevait les taureaux, il tue son fils et sa bru et va tomber dans une spirale sanglante pour financer ses ultimes vacances...
- Familia, de Fernando León de Aranoa (Esp, 1997), Santiago, père de famille, rêve d'une femme et d'enfants parfaits. Mais ça ne va jamais comme il veut: il n'aime pas le cadeau que son fils lui a offert pour son anniversaire; il ne le croit pas quand il lui dit qu'il l'aime, se fâche avec tout le monde et exige un autre fils, moins gros et si possible lui ressemblant un peu. Qui n'a jamais rêvé d'avoir une famille sur mesure?
- Barrio, de Fernando León de Aranoa (Esp, 1998), Javi, Manu et Rai sont trois copains qui ont grandi ensemble dans une banlieue d'une grande ville d'Espagne. En ce mois d'août où la chaleur est écrasante, ils aimeraient bien partir en vacances eux aussi et s’occupent comme ils peuvent.
- El Bola, de Achero Mañas (Esp, 2001), El Bola est un garçon de 12 ans élevé dans une famille violente. Honteux de ce contexte familial, il évite ses camarades de classe. L'arrivée d'un nouvel élève dans son école va lui faire découvrir l'amitié et une famille où existent communication et amour. Il a alors le courage d'affronter sa situation.
- Azul oscuro casi negro, de Daniel Sánchez Arévalo (Esp, 2006), malgré son master de gestion, Jorge a dû reprendre le travail de concierge de son père handicapé et s'occuper de lui à plein temps. Son frère aîné, Antonio, est en prison. Tout bascule pour Jorge quand son frère lui demande un étrange service : mettre enceinte Paula, sa petite amie elle aussi incarcérée.
- La vergüenza, de David Planell (Esp, 2009), couple trentenaire, Pepe et Lucía viennent de prendre la grave résolution de rendre le jeune Manu, âgé de huit ans, d'origine péruvienne, qu'ils ont adopté il y a six mois, devant leur impossibilité de gérer la situation.
- Nacidas para sufrir, de Miguel Albaladejo (Esp, 2010), Flora, 72 ans, s’est occupée toute sa vie de sa famille et de ses nièces, mais qui s’occupera d’elle maintenant ? Car la maison de retraite, elle n’a aucune envie d’y aller…
- Blog, de Elena Trapé (Esp, 2010), l’histoire surprenante d’un groupe d’adolescentes de 15 ans, de classe moyenne, éduquées, intelligentes et sensibles, qui ont un but commun : vivre des émotions fortes qui les distingueront des autres.
- La mosquitera, de Agustí Vila (Esp, 2011), une famille aisée vit coincée dans le petit monde qu’elle s’est construit. Chacun de ses membres essaie désespérément de sauver ce qui peut l’être. Lluís traverse l’adolescence sous les feux croisés de ses parents, couple quadragénaire en crise. Tous tentent de retarder le conflit, mais ce n’est qu’une question de temps…
- No tengas miedo, de Montxo Armendáriz (Esp, 2011), Sylvia porte en elle un lourd secret qui a brisé son enfance. Ses proches n’ont pas vu sa détresse ou peut-être ont-ils préféré ne pas la voir. À 25 ans, elle décide d’affronter son douloureux passé. Sur le chemin de cette reconstruction, elle va apprendre à dominer ses émotions, ses peurs et accéder enfin à l’estime de soi. Un film sur l’inceste et la difficulté à devenir adulte après un tel traumatisme.
- Arrugas, de Ignacio Ferreras (Esp, 2012), après une vie bien remplie, la mémoire d'Emilio lui joue des tours, et la maison de retraite devient une évidence. Il découvre un nouvel univers et se fait de nouveaux amis hauts en couleurs. Alors que les premiers signes de la maladie d'Alzheimer apparaissent chez Emilio, tous vont se mobiliser pour éviter son transfert à l'étage des "causes perdues".
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