• Sur Ernesto “Che” Guevara

    Che guerrilla
    • Diarios de motocicleta, de Walter Salles (Brésil, 2003), en 1952, deux jeunes Argentins, Alberto Granado et Ernesto Guevara, partent à la découverte de l'Amérique Latine sur une vieille moto. La confrontation avec la réalité sociale et politique des pays visités éveillera de nouvelles vocations associées à un désir de justice sociale.
    • Che-1ère partie: El argentino, de Steven Soderbergh (USA, 2008), le parcours du Che, de sa rencontre avec Fidel Castro en exil au Mexique en 1955 jusqu’au triomphe de la Révolution Cubaine en 1959, en passant par les trois ans de guérilla dans la Sierra Maestra.
    • Che-2e partie: Guerrilla, de Steven Soderbergh (USA, 2009), après la Révolution, la gloire du Che est au plus haut. En témoigne son discours aux Nations Unies, réitérant son engagement dans le combat du tiers-monde contre l'impérialisme américain. Mais il démissionne de toutes ses fonctions à Cuba pour mener une nouvelle guérilla en Bolivie.

    Sur Cuba

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    • Fresa y chocolate, de Tomás Gutiérrez Alea et Juan Carlos Tabío (1994), à La Havane, David, un étudiant militant du parti communiste, est chargé d'enquêter sur les activités d'un marginal, Diego. Homosexuel, celui-ci tombe amoureux de David.
    • Guantanamera, de Juan Carlos Tabío et Tomás Gutiérrez Alea (1995), des fonctionnaires se réunissent pour régler l’épineux problème du transport des défunts à Cuba. Adolfo décide que chaque région devra prendre en charge les corps qui passeront sur ses terres. Mais voilà que sa belle-mère meurt avec pour dernier souhait d'être enterrée à l'autre bout de l'île. Adolfo va escorter le corps dans ce long périple.
    • Buena Vista Social Club, de Wim Wenders (1999), le compositeur Ry Cooder parlait souvent avec enthousiasme à Wim Wenders du disque qu'il avait enregistré à Cuba avec de vieux musiciens, Buena Vista Social Club, succès international. En 1998, Cooder retourne à Cuba y faire un nouveau disque. Wim Wenders est du voyage avec une équipe de tournage.
    • Lista de espera, de Juan Carlos Tabío (2000), Emilio, jeune ingénieur au chômage, arrive à la gare routière d'un village de Cuba. Des dizaines de personnes y attendent l'arrivée d'un bus ou, mieux encore, la réparation de celui qui est en panne. Un bus apparaît enfin, mais n'offre qu'une seule place. La tension monte…
    • Antes que anochezca, de Julián Schnabel (2000), retrace la vie de l'écrivain cubain Reinaldo Arenas: son enfance, son enthousiasme pour la révolution castriste, ses désillusions, son homosexualité, ses séjours en prison, son exil politique à New York en 1980.
    • Viva Cuba, de Juan Carlos Cremata Malberti (2005), Malu et Jorgito, deux enfants, se sont promis d'être amis pour la vie, bien que leurs familles se détestent. Quand la grand-mère de Malu meurt et que sa mère décide d'aller vivre à l'étranger, Malu et Jorgito s'enfuient. Commence un périple à travers Cuba...
    • El cuerno de la abundancia, de Juan Carlos Tabío (2008), dans un village cubain, une nouvelle se répand comme une traînée de poudre: tous ceux qui portent le nom de Castiñeiras recevront un gros héritage déposé au XVIIIe siècle par des religieuses dans une banque anglaise. Tous les Castiñeiras se lancent dans les démarches pour toucher leur part...
    • Chico & Rita, de Fernando Trueba et Javier Mariscal (2010), Cuba, 1948. Chico, jeune pianiste talentueux, écoute les airs de jazz venus d’Amérique, rêvant de s’y faire un nom. La belle Rita gagne sa vie en chantant dans les clubs. De La Havane à New York, en passant par Hollywood, Paris et Las Vegas, la musique va les entraîner dans une histoire d’amour passionnée, à la poursuite de leurs rêves et de leur destinée.
    • Habana muda, de Eric Brach (Fr, 2010), Chino, marié et père de deux enfants, vit avec sa famille à la Havane et enchaîne les petits boulots pour survivre. Lorsque José, un Mexicain en visite à Cuba, tombe amoureux de lui, Chino doit décider s'il veut quitter l'île avec lui pour aider sa famille. Mais José se pose des questions sur les motivations de Chino: partage-t-il ses sentiments ou cherche-il juste à quitter le pays?
    • Siete días en La Habana, de 7 réalisateurs (2011), un portrait contemporain de La Havane à travers un film en 7 chapitres réalisés par Benicio del Toro, Pablo Trapero, Julio Medem, Elia Suleiman, Gaspar Noé, Juan Carlos Tabío et Laurent Cantet. Chaque chapitre raconte une journée de la semaine, à travers le quotidien d’un personnage différent. Un film qui fait résonner l’âme de cette ville hétéroclite au fil des quartiers, des ambiances, des générations et des cultures.
    • Juan de los Muertos, de Alejandro Brugués (2011), tandis que La Havane est prise d’assaut par une armée de zombies, les médias officiels laissent entendre que ce désordre est le fait de dissidents soutenus par le gouvernement américain. La ville est prise de panique jusqu’au moment où Juan vient à la rescousse. Il a découvert qu’on pouvait tuer les morts vivants en réduisant leurs cerveaux en bouillie…
    • Haydée et Celia, de Veronika Petit et Renaud Schaack (2012), en 1953, Haydée Santamaría participe à l’attaque de la caserne Moncada. En 1956, Celia Sánchez rejoint à son tour la guérilla. Après la victoire, Haydée est nommée Présidente de la Maison des Amériques, une institution culturelle prestigieuse, et Celia devient la secrétaire personnelle et la compagne de Castro. Le portrait de deux femmes qui ont joué un rôle fondamental dans la Révolution cubaine.

    Sur le Mexique

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    • Rojo amanecer, de Jorge Fons (Mex, 1989), raconte la nuit du massacre de Tlatelolco le 2 octobre 1968 à Mexico, vécue par une famille mexicaine moyenne. Vingt ans après les faits, ce film, le premier à aborder un sujet longtemps tabou au Mexique, témoigne de l'impact des mouvements étudiants sur les consciences politiques.
    • La ley de Herodes, de Luis Estrada (Mex, 1999), comédie satirique sur la corruption au Mexique. En 1949, les habitants d’un village décapitent leur maire qui tentait de fuir avec l’argent public. Juan Vargas, éboueur du village affilié au PRI, fera office de maire jusqu’aux prochaines élections. Plein de bonnes intentions, il va peu à peu découvrir les bénéfices du pouvoir et de la corruption...
    • Fraude: México 2006, de Luis Mandoki (Mex, 2006), une chronique de la fraude présumée lors des élections présidentielles du 2 juillet 2006, qui ont porté au pouvoir Felipe Calderón face à Andrés Manuel López Obrador.

    Lien vers le documentaire (VO)

    • Sleep Dealer, de Alex Rivera (Mex, 2008), dans un futur proche, la main d’œuvre mexicaine, reliée par ordinateur aux entreprises américaines, travaille à distance sur des chantiers américains tout en vivant au Mexique. Dans ce monde où le virtuel domine, trois personnes entrent en connexion et vont risquer leur vie pour échapper à ce destin.
    • ¡Viva México!, de Nicolas Défossé (Mex, 2010), le 1er janvier 2006, des milliers de zapatistes fêtent le départ de leur porte-parole, le Sous-commandant Marcos. Sa mission: parcourir le pays pendant six mois pour écouter les citoyens qui aspirent à un autre Mexique. Ce périple qui commence comme un murmure isolé grandit comme le cri de centaines de milliers: Viva México!

    Site officiel du film

    • Revolución, 10 réalisateurs (Mex, 2010), dix voix du cinéma mexicain actuel s’unissent pour célébrer les 100 ans de la Révolution: un moment historique qui résonne encore dans la société d’aujourd’hui.
    • Cinco de Mayo: la batalla, de Rafa Lara (Mex, 2013), une reconstitution de la bataille de Puebla, date marquante de l'histoire du Mexique. Voulant mettre l’archiduc Maximilien à la tête du pays, Napoléon III envoie 6 500 soldats français prendre Mexico. Marchant sur la capitale, ceux-ci rencontrent les troupes mexicaines le 5 mai 1862.

    Sur l’Amérique Centrale

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    • Salvador, d’Oliver Stone (USA, 1986), le journaliste Richard Boyle, accablé de problèmes privés et professionnels, s'exile au Salvador pour trouver un scoop dans un pays en pleine guerre civile. Il y retrouve María, une femme qu'il a aimée, et découvre les horreurs d’un conflit méconnu du reste du monde.
    • Carla’s song, de Ken Loach (RU, 1995), Glasgow, 1987. George est amoureux de Carla, réfugiée nicaraguayenne qui a fui la guerre dans son pays après avoir été témoin d'événements dont elle ne veut pas parler. Un jour il la sauve d'une tentative de suicide. Il décide alors de se rendre avec elle au Nicaragua sur les traces de son passé.
    • Under fire, de Roger Spottiswoode (USA, 1983), au Nicaragua en 1979, le photographe Russel Price couvre la guerre civile opposant le dictateur Somoza aux rebelles. Suite à de malencontreux événements, Price et ses collègues doivent se cacher de l'armée...
    • Carlos, l’aube n’est plus une tentation, de Thierry Deronne (Venezuela, 2012), premier documentaire consacré à la vie de Carlos Fonseca Amador (1936-1976), guérillero nicaraguayen, fondateur du Front Sandiniste de Libération Nationale, assassiné par la Garde nationale de Somoza trois ans avant le triomphe de la révolution.

    Sur la Colombie

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    • Dancer upstairs, de John Malkovich (USA, 2001), dans un pays d'Amérique Latine gangrené par une guérilla, Agustín Rejas, policier idéaliste, tente d’en capturer l’insaisissable chef, Ezekiel. Rejas croit échapper à la tourmente dans les bras de Yolanda, la professeur de danse de sa fille, mais les apparences sont trompeuses...
    • Los colores de la montaña, de Carlos César Arbeláez (Colombie, 2010), Manuel habite un village des Andes colombiennes et joue souvent au football avec ses copains. Un jour, il envoie le ballon sur un champ de mines par inadvertance. La bande de gamins décide d’aller le récupérer… Derrière les jeux d’enfants, le conflit armé gangrène la vie quotidienne et les habitants quittent inexorablement les lieux.
    • Pequeñas voces, de Jairo Eduardo Carrillo et Óscar Andrade (Colombie, 2010), film d’animation basé sur les récits d’enfants de 9-12 ans qui ont grandi dans la violence du conflit colombien. Le film utilise leurs dessins et différentes techniques d’animation pour nous transporter dans leur pays et nous faire partager leurs rêves et leurs espoirs.
    • Sin tregua, de Juan José Lozano (Colombie, 2008), Hollman Morris, journaliste colombien, tente de concilier vie professionnelle et privée, engagement et craintes pour la sécurité des siens. Avec son émission de télévision Contravía, il dénonce la barbarie du conflit armé. Ses reportages lui ont valu une reconnaissance internationale, mais aussi menaces de mort et intimidations en tout genre.
    • Impunité, de Juan José Lozano (Colombie, 2010), prétextant la lutte contre les FARC, des groupes paramilitaires ont tué des milliers d’innocents. Bilan de ces dix années: 50 000 morts. 40 chefs paramilitaires sont aujourd’hui jugés dans le cadre du processus Justice et Paix. Peu à peu, on remonte la piste des commanditaires jusqu’au sommet de l’Etat. Un tiers du parlement est mis en examen. Des centaines de familles attendent la vérité.
    • Operación E, de Miguel Courtois (Colombie, 2012), Colombie, décembre 2007: le monde entier attend la libération de deux otages des FARC, Clara Rojas et son fils Emmanuel, né en captivité. Quelques années plus tôt, le bébé a été confié de force par la guérilla à un paysan, José Crisanto. Le film raconte l’histoire de cet homme et de sa famille dont la vie va se transformer en tragique périple.
    • La sirga, de William Vega (Colombie, 2012), fuyant la violence armée qui a décimé sa famille, Alicia se réfugie à La Sirga, l’auberge d’Oscar, le seul proche qu’il lui reste. Mais cet endroit sûr ne sera pas épargné: le retour de Freddy, le fils d’Oscar, ses intentions troubles et ses liens avec des acteurs de la guerre, amèneront à La Sirga ce qu’Alicia craint le plus.

    Sur le Pérou

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    • La boca del lobo, de Francisco José Lombardi (Pérou, 1988), l'histoire véridique de la tuerie de Soccos : le 13 novembre 1983, un groupe de policiers entre de force dans une maison et traite les habitants, qui fêtent un événement, en terroristes du Sentier Lumineux. Une dénonciation des excès de la lutte anti subversive.
    • Paloma de papel, de Fabrizio Aguilar (Pérou, 2001), Juan et d'autres enfants sont enrôlés de force par les terroristes. Malgré sa peur, Juan arrive un jour à s'échapper afin de prévenir les habitants de son village qu'un nouvel attentat va avoir lieu...
    • Ojos que no ven, de Francisco José Lombardi (Pérou, 2003), à travers six histoires, le film montre les conséquences dévastatrices sur la société péruvienne du gouvernement Fujimori (1990-2000), dominé par la manipulation et la corruption.
    • Mariposa negra, de Francisco José Lombardi (Pérou, 2006), thriller politique inspiré d’une histoire vraie. Gabriela apprend l'assassinat de son fiancé, un juge dont la mort serait liée à une orgie. Décidée à découvrir la vérité et aidée par une journaliste, elle va pénétrer dans les entrailles d'une corruption issue des plus hautes sphères du gouvernement Fujimori.
    • La prueba, de Judith Vélez (Pérou, 2006), dans une société rongée par la corruption et le terrorisme. Miranda doit retrouver son père disparu, son sang pouvant sauver la vie de son petit frère Tomás. Elle entame ses recherches à Arequipa, où il a été vu pour la dernière fois cinq ans auparavant.
    • Lucanamarca, de Carlos Cárdenas et Héctor Gálvez (Pérou, 2008), Santiago de Lucanamarca, une communauté paysanne reculée des Andes, est secouée par la présence de la Commission de la Vérité et de Réconciliation qui vient ouvrir les tombes des 69 morts du massacre du 3 avril 1983. 20 ans plus tard, surgit la possibilité de guérir les vieilles blessures...
    • Fausta, la teta asustada, de Claudia Llosa (Pérou, 2008), Fausta souffre de la maladie du sein effrayé, transmise selon une croyance populaire par "le lait de la douleur" des mères ayant été violées par des soldats entre 1980 et 1992, pendant la lutte anti subversive du Gouvernement péruvien contre Le Sentier Lumineux.
    • La cicatriz de Paulina, de Manuel Legarda (Pérou, 2010), en 1995, le président Fujimori annonce au Congrès un programme de planning familial qui prétend améliorer la santé des futurs parents.  Mais trois ans plus tard, la presse révèle une campagne de stérilisation forcée. Les indiennes victimes de ces procédés commencent à parler…
    • 1509 Operación Victoria, de Judith Vélez (Pérou, 2011), documentaire sur la capture d’Abimael Guzmán, leader du Sentier Lumineux. En deux ans, les services secrets réalisèrent ce qui ne put jamais être fait en dix: connaître les rouages et le modus operandi de l’organisation et en localiser les dirigeants.

    Sur la Bolivie

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    • Di buen día a Papá, de Fernando Vargas (Bol, 2005), à La Higuera en 1967, le Che est tué et sa dépouille exposée publiquement avant d'être enterrée dans un lieu secret. Trois générations de femmes vivant dans la région sont diversement affectées par cet épisode historique.
    • Bolivie, une révolution élue, d’Anne Delstanche (Fr, 2009), la Bolivie regorge de ressources naturelles et est pourtant l’un des pays les plus pauvres d’Amérique Latine, un pays où les communautés indigènes sont discriminées. Pourquoi cette situation et quelles perspectives se sont-elles ouvertes avec l’arrivée au pouvoir d’Evo Morales, le premier président indien de Bolivie?
    • Cocalero, de Alejandro Landes (Bol, 2007), documentaire sur la campagne électorale de Evo Morales, qui le fit parcourir la Bolivie. Alors dirigent syndical cocalero et candidat du MAS, indien aymara, son impressionnante détermination le porta triomphalement à la présidence. Le récit d’une victoire sans précédents.

    Site officiel du film

    Lien vers le documentaire (VO)

    • Érase una vez en Bolivia, de Patrick Córdova (Bol, 2012), le périple infernal de deux demi-frères aux rapports conflictuels, de La Paz à la frontière chilienne, pendant la Guerre du gaz de 2003.
    • Insurgentes, de Jorge Sanjinés (Bol, 2012), l’histoire de la Bolivie à travers ses événements les plus marquants: du soulèvement indigène de 1781 à la République plurinationale actuelle, en passant par la Guerre du Chaco, la révolution de 1952, l’expulsion du président Sánchez de Lozada ou la Guerre du gaz. 220 années de résistance.

    Sur l’Equateur

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    • Qué tan lejos, de Tania Hermida (Eq, 2006), Esperanza, jeune touriste espagnole en quête d’aventures, rencontre Teresa, étudiante équatorienne au cœur brisé. Les deux femmes vont entreprendre un périple à travers l’Equateur. Plein de péripéties et de rencontres pittoresques, ce voyage leur fera découvrir un pays de contrastes.
    • Prometeo deportado, de Fernando Mieles (Eq, 2010), qu’ont en commun un magicien, un top model, un écrivain, un universitaire et un champion de natation? Ils partagent l’orgueil et le malheur d’être Equatoriens. Aujourd’hui, ils sont retenus dans la salle d’attente d’un aéroport européen avec de nombreux compatriotes qui doivent être déportés. Ils vont peu à peu transformer le lieu en un petit Equateur...
    • Mejor que antes, de Andrés Barriga (Eq, 2010), dans ce film construit à partir d’histoires et de témoignages, le réalisateur s’attache aux habitants de l’Equateur d’aujourd’hui en s’appuyant sur le legs d’Eloy Alfaro, dirigeant révolutionnaire emblématique du XIXe et fil conducteur qui les relie entre eux et à l’Equateur. Leurs histoires sont marquées par celle du héros de la révolution libérale.
    • En el nombre de la hija, de Tania Hermida (Eq, 2011), Manuela et son frère Camilo passent l’été 1976 dans la ferme de leurs grands-parents. Leur grand-mère, catholique conservatrice, insiste pour que Manuela soit baptisée, mais celle-ci refuse, défendant fièrement les idées de son père communiste et athée. Cet événement changera pour toujours la petite fille et sa relation avec sa famille.
    • Con mi corazón en Yambo, de María Fernanda Restrepo (Eq, 2011), la réalisatrice revient sur l’affaire Restrepo, crime d’état perpétré le 8 janvier 1988, en se basant sur ses souvenirs. Ce jour-là, ses frères Carlos Santiago et Pedro Andrés moururent torturés par la police. Jetés dans la lagune de Yambo dans le Parc National Cotopaxi, leurs corps n’ont jamais été retrouvés.
    • Ecuador, une politique au-delà de l’utopie, de Jacques Sarasin (Eq, 2013), dans un monde où les pays du Nord exportent leur modèle économique et politique, l’Equateur s’est engagé dans une réforme profonde. Rafael Correa, président depuis 2006, invente une nouvelle gouvernance, transformant le pays en une démocratie participative, sociale et écologique. Il a apporté aux Equatoriens l'espoir qu’ils avaient leur mot à dire.

    Sur l’interventionnisme américain en Amérique Latine

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    • The war on democracy, de John Pilger (RU, 2007), dans ce documentaire, le journaliste John Pilger examine le rôle de Washington dans les manipulations politiques en Amérique Latine au cours des 50 dernières années, et la réaction actuelle des latino-américains face à cet interventionnisme.

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